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Cinéma Dossier

L’Histoire vue et revisitée par le péplum – réflexions

De Gladiator à Gods of Egypt, en passant par Alexander, 300 et Exodus : Gods and Kings, le péplum a le vent en poupe. Toujours plus ambitieuses, continuellement plus spectaculaires, les productions – souvent hollywoodiennes – n’ont de cesse d’immerger le spectateur dans les périodes les plus glorieuses de l’Antiquité où les Empires se font et se défont et les batailles décisives changent le cours de l’Histoire. Dans des œuvres où fiction et réalité s’entremêlent et où “l’Histoire antique enjambe les siècles pour venir se cogner à l’Histoire contemporaine1, il est légitime de se poser la question de la place et du rôle de celle-ci dans le péplum.

Petite histoire du péplum

Ineffable et inépuisable source d’inspiration pour nombre d’œuvres picturales, littéraires et architecturales, la culture classique a été, depuis la nuit des temps, un terrain propice à tous les fantasmes. De cette période luxuriante et exotique, les artistes se sont complus à immortaliser les légendes et tragédies, représentant une Antiquité tantôt glorieuse, tantôt dramatique, faite de mythes et d’actes héroïques. Dès sa création à la fin du XIX siècle, la caméra s’est emparée de cette culture classique, posant ainsi les bases d’un nouveau genre cinématographique en devenir : le péplum. Si, à l’origine, le terme se réfère exclusivement au cinéma italien, l’expression est aujourd’hui employée pour qualifier les films et séries – indépendamment de leur nationalité – dont l’intrigue s’inscrit dans l’Antiquité2. De l’Égypte pharaonique à la Rome de Romulus et Rémus, en passant par la Grèce classique et hellénistique, dépeignant des fresques historiques réelles ou mythologiques, le péplum fait voyager le spectateur à travers les millénaires dans des odyssées aussi homériques qu’idylliques ; sur papier tout du moins.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, il convient de brièvement s’appesantir sur la naissance et l’évolution du genre. Comme susmentionné, le péplum talonne de près l’apparition du cinéma. S’il faut en effet attendre décembre 1895 pour assister à la première projection des Frères Lumières dans une arrière-salle du Grand Café à Paris, le film Néron essayant des poisons sur des esclaves, une vue photographique animée considérée comme le premier péplum3, voit le jour dès 1897 sous la houlette du français Georges Hatot. Avec des moyens de production souvent rudimentaires et un style tâtonnant qui se cherche encore, il faut patienter jusqu’à 1910 et l’affinement des techniques de réalisation pour voir le genre réellement – quoique compendieusement – prendre son essor. Dans le sillage de fresques comme Cabiria (1914), premier long-métrage à utiliser le travelling, Giulio Cesare (1914), Intolerance (1916), Salammbô (1925) et de nombreuses autres productions, le péplum connait en effet son premier âge d’or4. Continuellement plus spectaculaires, souvent patriotiques – essentiellement dans le cinéma italien -, ces films “d’épée et de sandales”5 attirent de plus en plus les foules, avant de décliner dans le milieu des années 1920.

De l’Égypte pharaonique à la Rome de Romulus et Rémus, en passant par la Grèce classique et hellénistique, dépeignant des fresques historiques réelles ou mythologiques, le péplum fait voyager le spectateur à travers les millénaires dans des odyssées aussi homériques qu’idylliques.

A l’aube des années 1950, après trois décennies d’agonie et une relégation au second rang du paysage cinématographique, le péplum connaît une indicible résurrection. Porté par des long-métrages tels que le novateur Ulisse (1954), l’indétrônable Ben-Hur (1959) ou encore le plus que dispendieux Cleopatra (1963), le péplum rentre dans son second âge d’or, période marquée par des superproductions toujours plus ébouriffantes et sempiternellement plus onéreuses. Un coût grandissant qui met par ailleurs à mal la rentabilité d’un genre à bout de souffle, bridé par des limitations techniques croissantes, une série d’échecs commerciaux et un désintérêt progressif de la part du public. A ces grosses machines cinématographiques s’ajoute également la multiplication de films à petit budget, souvent réalisés en Italie, et dont la surutilisation des mécanismes inhérents au genre finira par transformer le péplum en une caricature de lui-même. Enfin, le milieu des années 1960 voit l’avènement et la popularisation d’un nouveau genre, le western spaghetti, venant ainsi porter le coup de grâce au péplum qui, victime de ses propres clichés, finira par tomber en désuétude6.

Alors boudées par le public et les studios, les fresques antiques se raréfient sans pour autant totalement disparaître – on notera par exemple quelques francs succès à l’image de Xena: Warrior Princess (1995-2001). Il faut attendre le début des années 2000 et le retentissant triomphe, aussi bien critique que commercial, de Gladiator (2000) pour voir le péplum faire son grand retour. S’en suit alors un troisième âge d’or7, marqué par la suprématie du cinéma américain et le fourmillement de superproductions hollywoodiennes telles que Troy (2004), Clash of the Titans (2010), The Eagle (L’Aigle de la Neuvième Légion, 2011) et Risen (La Résurrection du Christ, 2016).

Chante, ô Muse, la colère d’Achille

Si le genre offre donc un cadre idyllique à l’intrigue d’un film, sa relation étroite et son parallèle inévitable avec l’Histoire en font un sujet délicat et complexe à traiter. Carrefour entre l’Histoire et le cinéma, le péplum est déchiré entre le poids de la véracité historique des événements qu’il dépeint et son inénarrable appétit pour le grand spectacle. Il sied, dès lors, de comprendre et d’analyser les dynamiques de ces deux forces contraires afin de tenter d’en extraire le rôle du péplum. A priori, et non sans une certaine ingénuité, il serait tentant d’affirmer que son objectif premier est de divertir et éblouir son public – à grand renfort de combats épiques, d’intrigues palpitantes et de décors pompeux -, en n’empruntant à l’Histoire que le strict nécessaire à la création d’un univers réaliste et cohérent. Le péplum se voudrait donc vraisemblable et non vrai8. Ainsi, le film épique9 ambitionnerait de représenter un monde qui semble réel, sans s’embarrasser d’une quelconque véracité historique, et auquel le spectateur pourra s’identifier10. Dans cet exercice de vraisemblance illusoire, il n’est pas question de réalisme historique au sens strict – même si son rôle peut être non négligeable dans la construction de la plausibilité du monde – mais bel et bien du respect de certains codes inhérents au genre, aussi bien scénaristiques qu’esthétiques et physiques.

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Carrefour entre l’Histoire et le cinéma, le péplum est déchiré entre le poids de la véracité historique des événements qu’il dépeint et son inénarrable appétit pour le grand spectacle.

Dès lors, le péplum répondra à une série de règles qui, dans l’imaginaire collectif, permettront de crédibiliser le monde dépeint. Ainsi, l’affabulation obéira à une certaine logique commune au genre, une sorte de fil d’Ariane parsemé de mythes, de trahisons et de combats de grande envergure (qu’ils soient navals ou terrestres), alors que les protagonistes répondront à différents archétypes, du beau héros intrépide à la musculature saillante à la jeune et pulpeuse demoiselle en détresse qui tombe sous le charme de son sauveur, en passant par le souverain tyrannique et son conseiller avide de pouvoir11. Si le fond épouse donc un certain modèle convenu d’avance, il en va de même pour la forme qui s’avère, elle aussi, tout autant codifiée. On retrouve alors dans le péplum une volonté de représenter, au travers de décors, costumes et coutumes caractéristiques de l’époque12, une Antiquité en adéquation avec la perception qu’ont les spectateurs de cette période. Prolifération de pratiques occultes, sexualité débridée et surabondance de violence, tout est fait pour donner vie à une Antiquité non pas historique mais vraisemblable, puisque forgée et conçue par l’imaginaire collectif. Et si celle-ci peut, à de rares occasions, correspondre à la véracité historique stricto sensu, il est clair que, en cas de divergence, la première aura le pas sur la seconde, l’Histoire n’étant qu’un outil mis au service de l’intrigue.

En effet, même si ces dernières décennies ont vu une augmentation du nombre d’historiens sur le plateau des superproductions hollywoodiennes, le péplum est avant tout une œuvre cinématographique et, en tant que telle, il se doit de respecter certains impératifs économiques et artistiques qui ne s’embarrassent que compendieusement des considérations historiques d’une minorité de puristes. Tout d’abord, en tant que pur produit commercial de divertissement, le film épique aspirerait à plaire au plus grand nombre, se conformant et se formatant par conséquent aux attentes et espérances d’un public qui veut voyager, rêver et se sentir dépaysé. Le spectacle est donc maître et justifie bien, à lui tout seul, quelques entorses historiques. C’est dans cette optique-là que le film Gladiator et la série Rome ont opté pour des combats de gladiateurs beaucoup plus sanglants, violents et dynamiques que ce que laisse présupposer la réalité historique13. Le même constat peut être établi dans 300 qui, aux combats de phalanges, a préféré des affrontements désorganisés, davantage propices aux prouesses individuelles – en l’occurrence celles de Léonidas. Enfin, on pourrait également citer l’éruption du Vésuve dans Pompeii, faite de projections de boules de feu et d’explosions à faire pâlir Michael Bay, dans l’unique but d’en mettre plein les yeux aux spectateurs. Toujours dans la démesure, continuellement dans la surenchère, le péplum se doit de vendre un doux songe à un public qu’il faut faire vibrer au travers de héros divinisés et d’actions épiques.

Le péplum aspirerait à plaire au plus grand nombre, se conformant et se formatant par conséquent aux attentes et espérances d’un public qui veut voyager et rêver au travers d’idylles oniriques. Le spectacle est donc maître et justifie bien, à lui tout seul, quelques entorses historiques.

Ensuite, en tant qu’œuvre d’art, le péplum se fait avant tout l’écho de la vision artistique de son réalisateur, qu’elle soit esthétique, politique (voir ci-dessous) ou philosophique. On pense notamment ici à 300 qui a sacrifié le côté historique au profit d’une esthétique proche de l’heroic fantasy. En outre, certains plans, scènes ou séquences devront s’affranchir de l’Histoire, aussi bien pour dynamiser l’intrigue que pour mystifier certains personnages. Le film Alexander illustre à merveille cette volonté de mettre en exergue certains aspects du protagoniste (en l’occurrence le côté névrosé et bisexuel d’Alexandre Le Grand) au détriment d’autres, afin de servir une cause et de projeter des problèmes sociaux actuels dans une toute autre époque. La fascination qu’a le réalisateur pour l’homosexualité d’Alexandre traduit en effet des questionnements et préoccupations modernes qui, dans le contexte du film, se révèlent totalement anachroniques puisque qu’une telle démarcation sexuelle n’existait pas à l’Antiquité14. De plus, à l’effigie des nombreuses adaptations lascives de Cléopâtre au cinéma, Alexander offre une image bien extravagante d’un Orient fantasmé par l’Occident et fait de dépravations sexuelles, terre promise de tous les désirs érotiques15.

Frappe-moi, mais écoute-moi16

Cependant, ce serait faire preuve de jobardise que de croire que la relecture de l’Histoire par le péplum ne traduit que des impératifs économiques et artistiques, ainsi qu’un simple respect des codes associés au genre. De fait, il n’est pas rare que le film “d’épée et de sandales” s’émancipe, explicitement ou pas, de l’Histoire afin de servir une idéologie ou une cause politique et/ou philosophique. Pour être comprise, l’œuvre doit par conséquent être replacée dans son contexte. Dès lors, les événements qui y sont dépeints, censés se dérouler des millénaires auparavant, ne sont que le miroir de la société et de l’époque auxquelles le film appartient, ainsi que des valeurs dominantes qui y sont véhiculées (souvent américaines, blockbusters obligent). Lesdits éléments se transforment alors en métaphores sociopolitiques et en messages biaisés risquant de transformer le péplum en un pur produit de propagande, quitte à faire mentir l’Histoire.

Un des portes-étendards de ce phénomène n’est autre que le film 30017. L’œuvre de Zack Snyder a en effet réussi à transformer les Spartiates et la bataille des Thermopyles en véritable symbole de la résistance du monde civilisé face à l’envahisseur barbare. Replacée dans son contexte, il est alors aisé d’y trouver une métaphore des États-Unis garants de la liberté et de la démocratie face au monde arabe. Une démarche nécessaire qui permet dès lors de mettre en exergue certains choix. Ainsi, la représentation des Perses, particulièrement caricaturale (coucou les piercings de Xerxès), prend tout son sens et on comprend aisément la volonté d’arabisation de ces derniers18. Omissions historiques (volontaires ?) et autres réjouissances du genre sont également au programme. Citons par exemple le passage sous silence de l’utilisation spartiate plus que massive d’Hilotes, alors que la Perse est représentée dans le film comme une société exclusivement basée sur un système d’esclavage inhumain. Un fait assez loin de la réalité historique.

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De fait, il n’est pas rare que le péplum s’émancipe, explicitement ou pas, de l’Histoire afin de servir une idéologie ou une cause politique et/ou philosophique. Pour être comprise, l’œuvre doit par conséquent être replacée dans son contexte.

Même l’excellent Gladiator, œuvre qui a remis au goût du jour le genre du péplum, n’échappe pas à la règle. Le film de Ridley Scott offre en effet une image bien terne et déshumanisée d’une Rome qui n’est pas sans rappeler, à certains moments, les cérémonies nazies de Nuremberg. Plus qu’une simple histoire de gladiateurs, Gladiator est en réalité une fresque qui dépeint le combat entre deux idéologies, celle de l’Empire et celle de la République, respectivement incarnée par l’oppresseur des peuples Commode et par le libérateur Maximus. Une vision qui se révèle une nouvelle fois en parfait décalage avec la réalité historique19,20. Sorte de parti pris idéologique, le film prend alors une toute autre tournure, se définissant comme le reflet des valeurs du pays de l’Oncle Sam transposées à une autre époque et non plus comme un simple divertissement. Les exemples sont encore nombreux tant les productions hollywoodiennes se complaisent à utiliser l’Histoire pour véhiculer des idées et discours politiques grandiloquents et dépeigant leur vision de ce qu’est ou devrait être une Civilisation, celle avec un grand C. Les Américains sont cependant loin d’être les seuls à utiliser le péplum comme moyen de manipulation de l’opinion publique. L’œuvre italienne Scipione l’Africano de Carmine Gallone (sortie en 1937) en est un parfait exemple. Considéré a posteriori comme le symbole du régime fasciste, le film était censé justifier l’intervention de Mussolini en Éthiopie ainsi que ses envies expansionnistes. Enfin, pour conclure cette énumération, citons le film roumain Les Guerriers (1966) qui s’inscrit dans un contexte politique particulièrement tendu entre la Roumanie et la Russie21.

De l’Égypte pharaonique à la Rome de Romulus et Rémus, en passant par la Grèce classique et hellénistique, le péplum, plus que jamais synonyme de grand spectacle, fait voyager le spectateur. Un périple qui n’est cependant pas sans risques car parsemé d’embûches. De par sa nature, le péplum peut en effet être exposé à différents types d’erreurs et d’inexactitudes historiques. Ne s’embarrassant guère d’une quelconque véracité historique, le péplum ambitionnerait, tout d’abord, de représenter un monde qui semble réel au moyen de codes et archétypes inhérents au genre. Le film “d’épée et de sandales” se voudrait donc vraisemblable et non vrai, répondant non pas à une réalité mais à une conception de l’Antiquité forgée par l’imaginaire collectif. Ensuite, en tant que pur produit de divertissement, le péplum aspirerait à plaire au plus grand nombre, se conformant et se formatant par conséquent aux attentes et espérances d’un public qui veut voyager et rêver au travers d’idylles oniriques. Le spectacle est donc maître et justifie bien, à lui tout seul, quelques entorses historiques. De même, en tant qu’œuvre d’art et se faisant donc l’écho d’une vision artistique de son réalisateur, le péplum serait amené à s’émanciper de l’Histoire. Enfin, il serait ingénu de croire que la relecture de l’Histoire par le péplum ne traduirait que des impératifs économiques et artistiques, ainsi qu’un simple respect des codes associés au genre. De fait, il n’est pas rare que le film épique s’émancipe, explicitement ou pas, de l’Histoire afin de servir une idéologie ou une cause politique et/ou philosophique. Pour être comprise, l’œuvre doit par conséquent être replacée dans son contexte. Dès lors, les événements qui y sont dépeints, censés se dérouler des millénaires auparavant, ne sont que le reflet de la société et de l’époque auxquelles le film appartient, ainsi que des valeurs dominantes qui y sont véhiculées.

Pour aller plus loin

Péplum : L’Antiquité spectacle de Hélène Lafont-Couturier.
L’Antiquité au cinéma de Frédéric Martin.
The Epic in Film: From Myth to Blockbuster de Constantine Santas. 

  1. Très belle formule empruntée à Bernard Léchot de swissinfo.ch.
  2. Lafont-Couturier, H. (Ed.). (2012). Peplum: L’Antiquité spectacle. Fage éditions.
  3. Péplum est ici utilisé non sans un certain anachronisme puisque le terme n’apparaît qu’en 1963
  4. Lafont-Couturier, H. (Ed.). (2012). Peplum: L’Antiquité spectacle. Fage éditions.
  5. Traduction littérale du terme sword-and-sandal movie qui désigne, en anglais, le péplum.
  6. Lafont-Couturier, H. (Ed.). (2012). Peplum: L’Antiquité spectacle. Fage éditions.
  7. Lafont-Couturier, H. (Ed.). (2012). Peplum: L’Antiquité spectacle. Fage éditions.
  8. Vivien Bessières, « Le péplum, et après ? L’Antiquité dans les récits postmodernes », Anabases [En ligne], 16 | 2012, mis en ligne le 01 octobre 2015, consulté le 06 juillet 2018. URL : http://journals.openedition.org/ anabases/3993 ; DOI : 10.4000/anabases.3993.
  9. Epic movie, un autre synonyme anglo-saxon de péplum.
  10. Lafont-Couturier, H. (Ed.). (2012). Peplum: L’Antiquité spectacle. Fage éditions.
  11. Vivien Bessières, « Rome : un péplum enfin réaliste ? », TV/Series [En ligne], 1 | 2012, mis en ligne le 15 mai 2012, consulté le 06 juillet 2018. URL : http://journals.openedition.org/ tvseries/1066 ; DOI : 10.4000/tvseries.1066.
  12. Martin, F. (2002). L’Antiquité au cinéma (Vol. 7). Editeur Dreamland.
  13. https://www.herodote.net/Gladiator-article-221.php.
  14. Sandra Boehringer, « Sexe, genre, sexualité : mode d’emploi (dans l’Antiquité) », Kentron [En ligne],21 | 2005, mis en ligne le 03 avril 2018, consulté le 10 avril 2018. URL : http://journals.openedition.org/ kentron/1801 ; DOI : 10.4000/kentron.1801Kentron.
  15. https://cinehig.clionautes.org/revoir-alexandre.html.
  16. Phrase prononcée par Thémistocle lors de la bataille de Salamine à l’amiral spartiate Eurybiade qui, lors d’une violente dispute, avait levé la main pour le frapper. “Frappe-moi, mais écoute-moi“, c’est-à-dire “frappe-moi si tu le veux mais écoute d’abord mon plan.”
  17. Adaptation du roman graphique homonyme de Frank Miller, le cas de 300 est légèrement différent de celui des autres films.
  18. Démarche nécessaire puisque la Perse (l’Iran actuel) est perse (logique me direz-vous) et non arabe.
  19. https://cinehig.clionautes.org/les-peplums-et-hollywood-que-dhistoires.html.

  20. Laure Lévêque, « Sources antiques et lectures cinématographiques. Le cas de Gladiator », Babel [En ligne], 24 | 2011, mis en ligne le 01 juillet 2012, consulté le 06 juillet 2018. URL : http://journals.openedition.org/ babel/182 ; DOI : 10.4000/babel.182.
  21. Lafont-Couturier, H. (Ed.). (2012). Peplum: L’Antiquité spectacle. Fage éditions.
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